Jean-Daniel S.

Quelles études ou formations avez-vous faites ?

J’ai fait un CFC de mécanicien-électricien avec une maturité technique, les deux en même temps.

Comment décririez-vous votre rôle chez TRAVYS ?

On va dire que nous sommes un peu les hommes « à tout faire ». Nous nous occupons de toutes les questions d’électricité. Que ce soit pour nous, au niveau des installations de sécurité mais aussi pour les autres départements. S’il y a besoin de tirer une rallonge ou un câble internet, nous nous en occupons. Voilà pourquoi je parle d’hommes à tout faire. De toute façon, chez TRAVYS nous sommes organisés en départements, mais nous travaillons tous ensemble.

A quoi ressemble une journée de travail type et sur quels projets travaillez-vous actuellement ?

Je viens le matin et je rentre chez moi le soir. Entre deux, il n’y a jamais rien de pareil. Il y a des journées où nous n’avons pas du tout fait ce que nous avions prévu ou planifié parce qu’il y avait des dépannages à faire. Au niveau des projets, nous travaillons actuellement sur la gare de Ste-Croix et sur l’information aux voyageurs grâce aux bornes et haut-parleurs.

Quel est votre défi professionnel principal ?

Chaque jour, le défi est d’assurer l’exploitation du service pour les clientes et clients sur nos trois lignes de train, plus les lignes de bus.

Et puis « notre » clientèle, ce ne sont pas que les voyageurs : il y a aussi les autres services de l’entreprise. Par exemple, le service de la vente va nous informer qu’un automate à billets est en panne et nous allons nous en occuper. Le défi est de jongler avec tout cela.

Qu’est-ce qui vous plaît chez TRAVYS ?

Que ce ne soit pas monotone. Chaque jour, on sait qu’il y aura quelque chose d’inattendu. C’est stimulant.

Et puis l’aspect collaboratif me plait. Je ne connais personne ici qui va refuser un service à une ou un collègue. Nous avons tous le même but : faire en sorte que les trains et bus circulent afin de garantir un service de transport fiable et de qualité à la population.

Quels conseils donneriez-vous aux jeunes qui ont envie de travailler dans le monde des  transports publics ?

Je dirais qu’il faut une grande ouverture d’esprit et être prêt à laisser de côté ses projets pour ceux des autres. Notre mission de service public est importante, elle passe avant ce que nous avions prévu de faire dans une journée de travail.

Comment voyez-vous votre avenir ?

Je ne suis pas voyant, sinon j’aurais déjà gagné au loto. Mais le but pour moi est de rester encore longtemps chez TRAVYS. Si tout va bien jusqu’à la retraite.